« Question de droit jugée par Arrest du Parlement de Provence. Si les Testamens mutuels peuvent être revoquez, sans en donner connoissance au Conjoint, à qui il importe de ne pas ignorer ce changement », dans Mercure de France, dédié au Roy, Janvier 1726. Paris : Guillaume Cavellier, Noël Pissot, 1726, p.199
Bibliothèque nationale de France, cote 8-LC2-39
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